Coup de coeur pour ce blog et pour cet article particulierment et encore plus particulierment pour son introduction et encore plus particulierment pour cette phrase : « Ecrire qu’elle chose, peu importe quoi pour ne pas perdre pied »
On a beau se le dire, on a beau le savoir, sauf que parfois le brouillard nous colle au cul même quand il fait soleil. Et plutôt que de publier de la merde, j’ai lu du beau, j’ai visionné du doux. Une boulimie de beauté extérieure pour extirper le venin.
Écrire tout de même sans publier. Écrire quelque chose, peu importe quoi pour ne pas perdre pied.
J’ai tracé des lignes, et entre elles j’espérais, sans trop y croire.
Il y a des creux plus profonds que d’autres. J’ai sombré. Même les mails de l’amant en couple sont devenus lassants, même les baises avec l’amant plus jeune. Passer à autre chose.
Ne plus perdre mon temps.
Déjà décider de ça.
Et le regard change.
Je me suis secouée un peu plus fort pour permettre à ma vie de prendre une autre trajectoire. Au fond, je suis vibrante, optimiste et je…
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