Repue de volupté la maitresse s’endort
Pendant qu’assise sur le rebord de sa couche,
Sa femme de chambre, cigarette à la bouche,
La contemple fière comme un conquistador.
Alors que le maître était à San Salvador,
La servante noire savonnant sous la douche
La jeune mariée aux airs de sainte nitouche,
A effleuré avec un doigt son bouton d’or.
Voyant que le rouge colorait ses joues blanches,
Ses caresses se firent de plus en plus franches.
La négrière eut tôt fait de la copier.
Puis leurs lèvres les portèrent à incandescence,
Enfin dans une posture heurtant la décence
Leurs langues habiles leurs firent perdre pieds.
Fascinant tableau. J’approuve le scénario. 🙂
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Il y aussi dans le même style, l’ « Olympia » de Manet et l’ »Odalisque à l’esclave » d’Ingres sur le même thème. Malheureusement je n’arrive pas à les coller ici mais ils sont magnifiques aussi.
Pour le scénario, je l’approuve aussi. 🙂
Qui sait si ce sonnet n’aura pas de suite, ça m’effleure… l’esprit en tout cas.
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Le yin et le yang.
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Jeu de dames.
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Dame oui ! 😀
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Sinon, le yin et le yang pas seulement pour la couleur comme ça me l’a évoqué au début, la posture ultime également ! Toi qui fait de la photographie, c’est une sujet intéressant, reste à trouver les modèles, si ça peut t’aider je lance un appel, je crois que j’ai une piste mais aucune idée quand à la couleur de sa peau.
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🙂
C’est gentil, mais j’aime encore photographier le spontané 😀
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C’est que les cèpes dans ta région ont une spontanéité très locale alors !
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Il y a quelque chose qui m’échappe dans vos commentaires…
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Si tu vas sur le blog de Julie, tu trouveras l’explication de cet échange à moins que je me sois moi-même fourvoyé sur le sens à donner à son commentaire…
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🙂
de très belles photos Julie.
Vincent merci pour l’info.
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