Les vers luisants ont
le pouvoir d’illuminer
les nuits ténébreuses,
comme les vers à soi, qu’ils
soient libres ou traditionnels.
Les vers luisants ont
le pouvoir d’illuminer
les nuits ténébreuses,
comme les vers à soi, qu’ils
soient libres ou traditionnels.
Cochonfusius se
compare aux abeilles dans
un de ses poèmes,
j’avais bien remarqué qu’ils
avaient la saveur du miel !
Comme Adam avait
demandé à Eve de
lui lacher la grappe,
elle n’eut plus que la pomme
à se mettre sous la dent.
L’amitié ne se
scelle pas en buvant dans
la même bouteille,
mais dans les larmes que l’on
partage les jours de peine.
Parfois je me sens
comme un cheveu sur la soupe
sur cette planète,
mais plus je vieillis, plus j’ai
l’impression d’être un croûton.
Par un beau soir d’été, au couché du soleil,
Les pieds endoloris par une longue marche,
Un séminariste s’adossa à une arche
Qui enjambait un fleuve où il mis ses orteils.
Il se vêtis plus tard du plus simple appareil
( bien que sans nul doute son strict patriarche
Aurait désapprouvé une telle démarche )
Et s’immergea ainsi dans les reflets vermeils.
Pendant que le jeune homme lavait son patrimoine,
Un chien discipliné lui vola sa soutane
Obéissant à l’ordre d’un berger facétieux.
Mais sa plaisanterie ne lui profita guère,
Contrairement au clerc, car charmée, la bergère
Lui permis de connaitre un moment délicieux.
L’existence, hélas,
passe comme une limace
sans que rien n’y fasse,
même d’avoir les quatre as
à Las Vegas, je me lasse !
Parfois on voudrait
que le temps s’arrête, hors
il ne fait que passer,
heureusement il nous reste
la nostalgie pour pleurer.
En cas de creux entre
deux repas on peut se faire
un petit en-cas,
mais si l’on s’ennui mieux vaut
se faire un petit tanka.
Cochonfusius fait
son chemin d’écrivain hors
des sentiers battus,
il y voit de drôles de
bêtes sans queue à deux têtes.