
Par un beau soir d’été, au couché du soleil,
Les pieds endoloris par une longue marche,
Un séminariste s’adossa à une arche
Qui enjambait un fleuve où il mis ses orteils.
Il se vêtis plus tard du plus simple appareil
( bien que sans nul doute son strict patriarche
Aurait désapprouvé une telle démarche )
Et s’immergea ainsi dans les reflets vermeils.
Pendant que le jeune homme lavait son patrimoine,
Un chien discipliné lui vola sa soutane
Obéissant à l’ordre d’un berger facétieux.
Mais sa plaisanterie ne lui profita guère,
Contrairement au clerc, car charmée, la bergère
Lui permis de connaitre un moment délicieux.
très séminal
au final
a dit Yann
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Bien vu Yann, peut-être plus séminal que sémillant même… Ta remarque me donne envie de changer le titre…
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Tiens! revoilà Clovis:)
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Oui, je cherchais une illustration dans ce registre et naturellement je suis allé voir parmi ses toiles. C’est toujours un plaisir de le mettre à l’honneur, un grand peintre assurément, qui avait au demeurant beaucoup d’humour, un clown triste comme le sont les clowns drôles, et qui parlait très bien de l’art en général et de la peinture en particulier ;
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Très intéressant reportage.
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Je trouve aussi, mais à quel titre le trouves-tu très intéressant ? Ça m’intéresse.
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Quel contraste entre son tableau de « l’enfant au chapeau » et la suite de son œuvre qui exprime colère, révolte et traumatisme de guerre.
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Oui, d’ailleurs quand il dit à ce sujet qu’il peignait mieux avant la guerre, qu’il a perdu la peinture avec elle, je ne me souviens plus exactement de ses mots, je n’approuve pas. Le traumatisme qu’il a subit en a fait au contraire à mes yeux un peintre authentique, avant il faisait du Rembrandt après il a fait du Trouille.
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Oui, tu Trouille traumatisé.
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