Sans domicile et sans argent,
Il vit dans la peur des agents,
Même s’il n’est pas à la fête,
Il se sent mieux qu’à Abidjan
Il fait partie des indigents,
Qui viennent en grands contingents,
Sur des nefs souvent obsolètes,
De pays loin d’être émergents.
En Italie, les dirigeants,
Ne sont plus du tout obligeants,
Et ils ont mis sur la sellette
L’une d’elles, les dérangeant.
Manu les jugea affligeants
D’ignorer un secours urgent,
Mais n’a pas pris sous sa houlette,
L’arche de migrants émargeant.
Il eût fallut, en s’en chargeant,
Avoir le cœur intelligent,
Au lieu de crier à tue-tête
Que l’extrémisme est résurgent !
Voir ;
https://paysdepoesie.wordpress.com/2018/06/24/robe-rouge-aux-fils-dargent/
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