Elle est en extase devant un vil prophète ;
Il lui fait miroiter le plus beau des vécus,
Mais il la trompe pour avoir les écus
Qu’elle gagne à l’usine alors qu’il fait la fête.
Pour lui, de ses amis, l’adepte s’est défaite
Comme on jette aux WC l’usagé papier-cul.
L’escroc a en elle l’entendement vaincu,
Avec ses histoires d’êtres d’autres planètes.
Ce vendeur de rêve n’a rien du sage-porc
Que j’admire en raison des très nombreux apports
Qu’il fait à la beauté, dont il est un apôtre.
Des poésies en vers, Cochonfucius produit,
Et dans chacune d’elles un je-ne-sais-quoi luit,
Pour son propre plaisir mais aussi pour le nôtre.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/un-berger-prophete
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=colletet/sur-une-chute-causee-par-un-belier
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