Son Rimel contrastait avec son teint très pâle,
Ses traits étaient tirés, elle me semblait mal.
La lycéenne était un sauvage animal
Aux invisibles plaies, aux insonores râles.
Elle séchait les cours, hormis celui d’un mâle,
Professeur de français un peu original,
On peut voir en cela l’avant-coureur signal,
De sa vie d’aujourd’hui : écrire dans la moelle.
Elle quitta Nancy pour les hauteurs de Lyon,
Et tenta non sans maux de creuser son sillon,
Puis naquit « Baise-moi », une virée glaçante.
Depuis elle connait un important succès,
Et à tous les micros, on lui donne un accès ;
Punkette décrocheuse est devenue puissante.
Despentes descend de son piédéstal
https://www.bellica.fr/lettre-ouverte-a-virginie-despentes-par-une-femme-qui-la-trop-bien-connue/
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13h38
ce poème glisse
comme un ouragan
dédié à l’autrice
aux mots captivants
je lis pour l’instant
Vernon Subutex
ledactylographe
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Je n’avais pas lue la lettre ouverte de Chloe des Lysses……à présent c’est fait.
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bravo, j’aime votre style poétique sur virginie Despentes, je ne connaissais pas, elle a créé une flingueuse, baise moi, est ce aussi bien que le flingueur de Joël houssin?
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