Le fermier a mangé des mogettes maisons
Au déjeuné d’adieu à sa tante Germaine,
Mais il aime tellement les graines vendéennes
Qu’il en a consommé bien plus que de raison.
À la traite suivant la funèbre oraison,
L’homme fut victime d’un commun phénomène :
Le gaz accumulé dans sa grosse bedaine
S’échappait par l’anus à chaque inclinaison.
Les pets malodorants fusèrent en ribambelles,
Ce qui incomoda grandement Mirabelle,
Pourtant des flatulences elle en a à foison.
D’ailleurs elle en lâcha une importante dose,
Sciemment, sous son nez, juste retour des choses ;
Il lutta vainement contre la pâmoison.