Il cherche le secret de la vie indolente
Dans des feuillets sacrés patiemment assemblés
(On y dit que sa mort fait s’engendrer le blé),
Par des mains délicates à la gestique lente.
Parmi eux il découvre une page volante ;
Sa lecture va-t’elle aussitôt le combler ?
Son désarroi va-t’il enfin être troublé ?
Verra-t’il comme Paul, la lumière aveuglante ?
Alors qu’il la lisait, du balcon, surgissant,
Une sœur qu’il voulait chasser de sa mémoire
Pour l’avoir éconduit, vint clore le grimoire.
L’homme sut son désir à ses yeux caressants,
Les ébats qui suivirent en firent sa maîtresse,
C’est ainsi qu’il trouva remède à sa détresse.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/le-pied-datalante
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=segalen/eloge-a-la-jeune-fille
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